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    Les commerçants cherchent toujours un moyen de gagner de l’argent tout en suivant les objets en actualité. S’il y a quelques années de cela, personne ne connaissait pas l’e-cigarette, depuis le début de l’année, elle est devenue une bombe à retardement. Très tendance sur le marché, les adeptes de ce gadget s’accroissent de jour en jour.

    E-cigarette dans les zones rurales

    Si pour certains commerçants, les grandes villes étant les meilleurs endroits pour faire bien couler le business sur la cigarette électronique, pour d’autres s’implanter dans les zones rurales était le plus objectif pour fuir la concurrence. L’e-cigarette peut donc se rencontrer non seulement en ville, mais aussi dans les communes rurales. C’est le cas de La Réole, dans la région aquitaine ; les boutiques e-cigarette y sont fortement présentes. Un buraliste de La Réole explique, qu’ils ont été démarchés à plusieurs reprises et les clients les ont en demande, donc ils y viennent forcément. Il est indéniablement vrai que des buralistes proposent l’e-cig au niveau de ces zones et que d’ailleurs elle fait même son apparition dans les épiceries. En effet, c’est surprenant comme situation, mais l’affaire marche très bien, raconte une gérante d’un magasin, Sabrina. « On arrive à vendre deux en moyenne par jours ». Une affaire comme l’e-cigarette, ce n’est pas tous les jours. D’après les commerçants, il faut savoir saisir cette opportunité, profité de cette mode dans laquelle tout le monde y trouve son intérêt : vendeurs, consommateurs et fabricants.

    E-cigarette, une législation vide

    Faute de législation, le commerce de l’e-cigarette va même jusqu’à en faire un marché ambulant  puisqu’aucune règle n’interdit ceci. Christophe, un marchand ambulant de cigarette électronique explique : « C’est un marché séduisant, les personnes qui viennent nous voir sont d’abord curieuses et cherchent à s’informer, mais n’achètent pas tout de suite ». Par ailleurs, le buraliste  de la place chaigne à La Réole pense que leurs clients, après avoir testé l’e-cigarette sont revenus au tabac ou alternent les deux. Selon lui, il s’agit d’une mode qui passera par la suite. Voilà pourquoi, il ne craigne pas que l’e-cigarette devance le tabac tout en croyant que leur activité de vente de tabac ne sera pas atteinte. Pour concurrencer, certains des buralistes pensent d’avoir bien fait d’installer des e-cig sur leurs étagères et out cela dans le but satisfaire les besoins des clients sans qu’ils aillent chercher ailleurs.

    Pour dire que le commerce de l’e-cigarette devient vraiment ambulant, durant la foire de la Toussaint en début novembre, elle y été présent. Nombreuses boutiques ou commerçants se sont déplacés afin de participer à la foire et de faire connaître la cigarette électronique et ses avantages par rapport à la cigarette classique aux gens. On ne peut le nier, ceci fait partie d’une stratégie marketing ou plutôt de la publicité. Mais vu que la législation est vide, les gens font ce qu’ils croient être la bonne voix pour faire répandre ce qu’est la cigarette électronique, et tout ceci, dans le seul but d’aider les fumeurs à se libérer du tabagisme.


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    D’après les études réalisées, la cigarette électronique permet d’arrêter de fumer et semble être moins nocive que la cigarette traditionnelle. Un test a été réalisé sur 100 fumeurs qui n’avaient pas la volonté d’arrêter de fumer et qui ont bien voulu se prêter au jeu en utilisant des e-cigarettes pendant au moins 3 mois.  Le résultat de ce test est très positif et très significatif car l’état de santé de 8% de ces personnes s’est amélioré et ils ont souhaité arrêter définitivement,
    61% de ces fumeurs ont réduit de moitié leur consommation de cigarettes traditionnelles et
     34% n’ont pas ressenti de manque. Le pneumologue Jacques Granger affirme que la cigarette électronique “est une technique supplémentaire que les pouvoirs publics et les personnels de santé devraient donner en conseil”.

    Les précautions d’usage des cigarettes électroniques

    L’E-cigarette serait aussi nocive pour la santé, surtout celle des plus jeunes et des femmes enceintes, que la consommation de tabac et d'alcool. C’est pour cela qu’il faut prendre quelques précautions pour sa consommation. Tout d’abord, il faut avoir l’âge pour pouvoir vapoter car l’organisme étant plus jeune ne peut supporter un vapotage même si ce n’est pas dangereux. Ensuite, les consommateurs doivent savoir limiter leur consommation surtout de la nicotine. Enfin, lors des achats du produit, il faut bien voir attentivement les composants surtout ce des e-liquides et toujours choisir des produits de qualités.

    Peut-on faire de la publicité pour l’achat cigarette electronique ?

    La cigarette électronique crée une polémique entre un buraliste et un vendeur d’e-cigarette, car jusqu’à maintenant pas de loi officielle pour la consommation, la vente et l’achat cigarette electronique. En ce qui concerne la publicité du produit, un procès se tiendra prochainement pour savoir si la publicité de la cigarette électronique est légale ou pas. Le buraliste accuse en effet le vendeur d’e-cigarette de « publicité illicite en faveur d'un produit qui rappelle l'acte de fumer » et le buraliste pose la question du monopole de la vente des cigarettes : la cigarette électronique entre dans la catégorie des "produits destinés à être fumés même s'ils ne contiennent pas de tabac" et tombe donc, comme la vraie cigarette, sous le coup du monopole de distribution réservé aux buralistes, comptait plaider son défenseur. Ce dernier demande donc que le tribunal interdise à Esla publicité comme la commercialisation de ses cigarettes électroniques sous astreinte de 1.000 euros par jour de retard. Pour lui aussi, la vente de la cigarette électronique doit être exclusivement réservée aux buralistes. Pour le vendeur d’e-cigarette, le produit  n'est pas "un produit du tabac", mais "un produit d'utilisation courante, qui ne fait l'objet d'aucuns monopole". Quant à la publicité, son avocat affirme qu’elle vante le sevrage. L'e-cigarette est un produit sensible dont la vente doit être confiée à des vendeurs spécialisés, les buralistes ne sont "pas aptes, dans les conditions actuelles, à vendre correctement ce produit", dit dans un communiqué cette fédération qui revendique 12.800 points de vente et plus de 1,5 million de consommateurs en France. Néanmoins, le procès se poursuivra  entre le buraliste et le vendeur e-cigarette.


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    Il y a un an de cela, la première  boutique spécialisée en cigarette électronique s’est installée à Alès, voilà qu’elles sont au nombre que cinq aujourd’hui à proposer des e-cig ainsi que des recharges de toutes marques aux vapoteurs. Le marché s’est développé à l’espace d’un an.

    La vente d’E-cigarette se prospère en Alès

    François reconnaît que c’est une affaire qui marche bien, il a implanté sa boutique depuis l’été dernier. Avec une large gamme de choix d’E-cigarette et d’e-liquides, il offre désormais aux fumeurs de l’Alès la possibilité de «  vapoter ». François été parmi les vendeurs les plus inquiets concernant le vote au Parlement européen mardi dernier, en effet, il été soucieux de penser à la fermeture de sa boutique qui est encore très récent. Comme tous les autres vendeurs, il est content du résultat, car il peut continuer à vendre librement de la cigarette électronique.  Bruno, un commerçant, qui vient d’ouvrir sa boutique en mai dernier a aussi réjoui de cette nouvelle tout en affirmant « En pharmacie, le produit n’aurait pas été accessible et les utilisateurs seraient revenus à la cigarette classique ». Tous les deux vendeurs, François et Bruno prennent soin de leurs clients notamment les conseillers sur le taux de nicotine au dépend de ce que ces derniers attendent de l’e-cig, soit arrêter de fumer  soit vapoter à la place des clopes. Par la suite, ils diminuent petit à petit le taux de nicotine qu’ils attribuent à leurs clients. La plupart de nos clients sont envoyés par des tabacologues ont-ils révélés. « Donc, si les médecins sont convaincus que la cigarette électronique peut aider les fumeurs à arrêter de fumer, nous sommes là pour les aider également à faire leur choix. » Rajoute Bruno. « Et quand je vends un produit, j’ai le sentiment profond de contribuer à aider les gens. » Affirme-t-il. D’un autre côté, la cigarette électronique offre aussi d’autres avantages mis à part la possibilité d’arrêter de fumer, les fumeurs peuvent également réduire leurs dépenses en tabac grâce à l’e-cigarette. Pour un paquet de cigarettes par jour, un fumeur dépense 210 € par mois. Alors qu’avec l’E-cigarette, ce coût est ramené à 40€, indique Bruno. Sa clientèle serait d’ailleurs composée pour 70 % de fumeurs qui souhaitent avant tout économiser. Les 30 % restants, eux, souhaitent en retirer un gain pour la santé.

    Les boutiques spécialistes en E-cigarette se développent à Alès

    Le marché d’E-cigarette pourrait écraser celui du tabac

    Les utilisateurs de la cigarette électronique vont devenir de plus en plus nombreux selon Bruno. Si ce rythme continue, l’offre va évoluer et sera de plus en plus approuvée par la médecine et l’État, dès qu’ils auront taxé le produit. En moyen terme, les frais médicaux liés aux maladies développées par les fumeurs vont régresser et c’est la Sécurité sociale qui sera gagnante ! En France, la cigarette classique tue chaque année 73 000 personnes à cause des 4000 substances chimiques qui la constituent. Selon les experts, le marché de l’E-cigarette pourrait rapporter jusqu’à 100 millions d’euros d’ici la fin d’année si bien qu’actuellement le chiffre est de 40 millions d’euros depuis le premier trimestre de 2013. Si cela va continuer, le marché de l’e-cigarette pourrait écraser celui du tabac. Que décident les cigarettiers, investir dans l’affaire ou détruire ce marché ?

     


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    La cigarette électronique ne se place pour l’instant que derrière la cigarette classique aux États-Unis. Un fort potentiel de marché se présente selon les fabricants étant donné que les règlements n’existent pas encore sur la vante de celle-ci ni sur sa commercialisation.

    Les grandes marques sont convaincues de la potentialité du kit e-cigarette

    Parmi les grandes marques figurent British American Tobacco, Lorillard, Reynolds American, Altria.... En dépit de la méconnaissance des gens de l’e-cigarette en Amérique, ils sont totalement convaincus que la cigarette électronique peut faire un grand succès en raison des options qu’ils offrent aux fumeurs tels la liberté de fumer partout y compris dans des lieux publics (restaurant, parc…) ; des endroits où fumer une clope sont interdits. « Nous voyons une très belle perspective pour ce marché aussi bien au niveau national qu’au niveau mondial », affirme Richard Smith, une porte-parole de Reynolds American, siège mère de RJ Reynolds qui a dernièrement lancé une cigarette électronique dans le Colorado (ouest) en vue de la tester. « Il est clair que les consommateurs veulent des produits faciles à manipuler et qui se détachent de toutes obligations. » Fixe encore Richard. Une dispute concernant le marché de l’e-cigarette, qui est incontestablement en retard par rapport à celui de l’Europe, mais très prometteuse, naît entre les géants de l’industrie et des start-up de Californie comme NJOY. Selon les experts de Wells Fargo, les chiffres peuvent atteindre jusqu’à 2 milliards de dollars cette année seulement avec ces e-cigarettes avant de plafonnier cinq fois plus d’ici à 2017.  Bonnie Herzog, une experte dans le secteur, prédite que la consommation d’e-cigarettes pourrait dépasser celle de cigarettes traditionnelles dans les prochaines décennies.

    Des obstacles du kit e-cigarette en vu

    En dépit de la vente d’e-cigarette encore moins réduite que la cigarette traditionnelle, des barrières s’annoncent dans l’air dans les prochaines semaines à venir. En effet, l'agence fédérale en charge du tabac aux États-Unis pourrait proposer d'aligner la législation sur l'e-cigarette sur celle des cigarettes traditionnelles qui s’avèrent très tendue. Actuellement les fabricants peuvent profiter de ce vide de réglementation avant que celle –ci soit limitée sinon ils seront taxé dès lors de leur sortie. Rappelons que la publicité pour le tabac a été interdite depuis 1971 alors que les e-cigarettes ont toujours cette faveur. On a récemment remarqué un spot sur l’écran de la marque NJOY d’une cigarette électronique durant les mi-temps du Super Bowl, la finale du football américain, l'un des évènements télévisés les plus suivis outre-Atlantique. Des Naughton, directeur général de Nicoventures, une filiale de British American Tobacco (BAT) partagent son avis « Une régulation stricte de ces nouveaux produits pourrait freiner largement le développement du marché ». Par ailleurs, Reynolds le concurrent de ce dernier affût que la réglementation se fera sur des « bases scientifiques solides ». Les fumeurs américains hésitent à franchir le pas afin de changer leurs habitudes tout en sachant l’existence de ce gadget. D’après les quelques tests faits par des personnes avec la marque Vype. Il a été conclu que les gens préfèrent toujours la cigarette classique qui donne de meilleures sensations, donc ce n’est pas pour eux. Malgré la diversification des marques et des modèles, il faut encore persuader les fumeurs de tenter le coup.


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  • Face à une menace de restriction au niveau européen contre la cigarette électronique qui est un engin permettant de s’en passer du tabac, des dizaines de vapoteurs se sont rassemblés à Paris la semaine dernière pour lancer une révolution de défense de la cigarette électronique.


    Non à l’assimilation de l’E-cigarette à un produit pharmaceutique


    Une révolution de défense pour la cigarette électronique a été lancée par l’association des vapoteurs Aiduce ainsi que des distributeurs dont le président est Brice Lepoutre. L’Union européenne envisage de classer la cigarette électronique qui notamment permet de lutter contre le tabac parmi les produits pharmaceutiques. Aucun décret n’a pas été encore annoncé cependant les utilisateurs de l’e-cig craignent qu’il en soit ainsi, alors ils ont décidé de protester contre l’Union européenne.

    Le leader du mouvement Brice Lepoutre explique que si le Parlement européen approuve une telle disposition, la cigarette électronique ne pourrait plus être vendue en France que dans les seules pharmacies alors qu’elles sont aujourd’hui essentiellement distribuées dans des boutiques spécialisées. « Une prise de telle décision serait un grand risque de faire replonger les 7 millions vapoteurs estimés dans l’Union européenne qui ont arrêté le tabac grâce à l’e-cig. Ce serait de jeter l’éponge à la lutte contre le tabagisme que permet l’e-cigarette » a-t-il prévenu.


    L’association des vapoteurs à lancé un « vapin’liberty » de l’E-cigarette


    « Le vapin’liberty qui signifie vapoter libre, est un mouvement pour la liberté d’utiliser la cigarette électronique » a expliqué le président de Cace, Michael Hammoudi. Il lance un appel à tous les vapoteurs à manifester le 7 octobre prochain à Strasbourg, la date cruciale ou la veille du vote du Parlement sur une loi-tabac qui pourraient assimiler la cigarette électronique à un médicament. « On note qu’il n’y a aucun règlement autour de la cigarette électronique qui relève d’un produit de consommation courante. Par contre, on est des professionnels responsables et on a fait des propositions au gouvernement pour un encadrement de la distribution », a-t-il contesté.

    Par ailleurs, le pneumologue Bertrand Dautzenberg, président de l’Office français de prévention du tabagisme (OFT) a jugé lui aussi, dans un communiqué, que la cigarette électronique ne doit pas être considéré comme le tabac et subir les mêmes directives. Il estime que l’e-cig ne peut pas classer parmi les produits de consommation courante, mais de là à imposer une réglementation pharmaceutique est globalement impraticable dans un pays comme la France. Dans ce cas, une partie des consommateurs préfèreraient revenir sur la cigarette classique dont la réglementation est beaucoup plus flexible que les e-cig.  


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