• E-cigarette : 100 000 fois moins dangereuses que le tabac

     

     

    D’après les études réalisées, la cigarette électronique permet d’arrêter de fumer et semble être moins nocive que la cigarette traditionnelle. Un test a été réalisé sur 100 fumeurs qui n’avaient pas la volonté d’arrêter de fumer et qui ont bien voulu se prêter au jeu en utilisant des e-cigarettes pendant au moins 3 mois.  Le résultat de ce test est très positif et très significatif car l’état de santé de 8% de ces personnes s’est amélioré et ils ont souhaité arrêter définitivement,
    61% de ces fumeurs ont réduit de moitié leur consommation de cigarettes traditionnelles et
     34% n’ont pas ressenti de manque. Le pneumologue Jacques Granger affirme que la cigarette électronique “est une technique supplémentaire que les pouvoirs publics et les personnels de santé devraient donner en conseil”.

    Les précautions d’usage des cigarettes électroniques

    L’E-cigarette serait aussi nocive pour la santé, surtout celle des plus jeunes et des femmes enceintes, que la consommation de tabac et d'alcool. C’est pour cela qu’il faut prendre quelques précautions pour sa consommation. Tout d’abord, il faut avoir l’âge pour pouvoir vapoter car l’organisme étant plus jeune ne peut supporter un vapotage même si ce n’est pas dangereux. Ensuite, les consommateurs doivent savoir limiter leur consommation surtout de la nicotine. Enfin, lors des achats du produit, il faut bien voir attentivement les composants surtout ce des e-liquides et toujours choisir des produits de qualités.

    Peut-on faire de la publicité pour l’achat cigarette electronique ?

    La cigarette électronique crée une polémique entre un buraliste et un vendeur d’e-cigarette, car jusqu’à maintenant pas de loi officielle pour la consommation, la vente et l’achat cigarette electronique. En ce qui concerne la publicité du produit, un procès se tiendra prochainement pour savoir si la publicité de la cigarette électronique est légale ou pas. Le buraliste accuse en effet le vendeur d’e-cigarette de « publicité illicite en faveur d'un produit qui rappelle l'acte de fumer » et le buraliste pose la question du monopole de la vente des cigarettes : la cigarette électronique entre dans la catégorie des "produits destinés à être fumés même s'ils ne contiennent pas de tabac" et tombe donc, comme la vraie cigarette, sous le coup du monopole de distribution réservé aux buralistes, comptait plaider son défenseur. Ce dernier demande donc que le tribunal interdise à Esla publicité comme la commercialisation de ses cigarettes électroniques sous astreinte de 1.000 euros par jour de retard. Pour lui aussi, la vente de la cigarette électronique doit être exclusivement réservée aux buralistes. Pour le vendeur d’e-cigarette, le produit  n'est pas "un produit du tabac", mais "un produit d'utilisation courante, qui ne fait l'objet d'aucuns monopole". Quant à la publicité, son avocat affirme qu’elle vante le sevrage. L'e-cigarette est un produit sensible dont la vente doit être confiée à des vendeurs spécialisés, les buralistes ne sont "pas aptes, dans les conditions actuelles, à vendre correctement ce produit", dit dans un communiqué cette fédération qui revendique 12.800 points de vente et plus de 1,5 million de consommateurs en France. Néanmoins, le procès se poursuivra  entre le buraliste et le vendeur e-cigarette.


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